Coupe de France : Défaite cinglante pour Boulazac face aux Girondins de Bordeaux, 0-4 à Périgueux

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Samedi 25 octobre au stade Francis-Rongiéras de Périgueux, la Coupe de France a tourné court pour l’Étoile Sportive de Boulazac : duel de niveau, défi logistique et un score 0-4 qui reflète la supériorité adverse après une première mi-temps disputée. Les Girondins de Bordeaux, évoluant en National 2, ont attendu la seconde période pour assommer les locaux grâce à quatre buts inscrits par Diagouraga, Openda, Odru et Shamal, pendant qu’un autre club périgourdin, Trélissac, validait aussi sa qualification pour le 7e tour. Le match éliminatoire a illustré la différence de profondeur d’effectif et d’expérience entre équipes de niveaux distincts, et a posé des questions précises sur la préparation des clubs de R1 face à des adversaires de la hiérarchie du football français. Pour les supporters présents, c’était un mélange de fierté locale et de lucidité : Boulazac a tenu le nul à la pause, mais l’écart s’est creusé ensuite, et la page tournée, il faudra apprendre, ajuster et revenir plus fort.

Si vous cherchez un angle plus doux après le score, profitez d’un détour par Bordeaux pour décompresser : entre un verre de clairet et des escapades culturelles, il y a de quoi rafraîchir l’humeur après une soirée de Coupe. On peut par exemple lire un petit guide sur le terroir local comme Découvrir le clairet bordelais ou préparer un week-end et un match à Bordeaux via le derby Bordeaux-Angoulême, voire prolonger la route par un itinéraire culturel Bordeaux–Saint-Jacques-de-Compostelle. Le sport se vit aussi en dehors des stades, et ces petites pauses aident à remettre les émotions en perspective.

Compte rendu express : comment le 0-4 s’est dessiné

La dynamique du match s’est renversée après la pause : 0-0 à la mi-temps, puis quatre buts girondins en seconde période. Le premier pion est venu à la 55e minute, lancé par une action collectivement construite qui a surpris la défense boulazacoise.

  • 55’ : Tydiane Diagouraga profite d’un centre pour ouvrir le score (0-1).
  • 74’ : Royce Openda reprend de la tête un centre au second poteau (0-2).
  • 88’ : Guillaume Odru enroule un coup franc au-dessus du mur (0-3).
  • 90+1’ : Steve Shamal suit un centre repoussé de la main et marque le 0-4.

Les chiffres parlent : la victoire des Girondins est nette et permet à Bruno Irles et son groupe de poursuivre la dynamique avant le championnat. Pour l’Étoile, la qualification s’arrête là mais le travail défensif réalisé en première période mérite d’être souligné.

Temps fort à retenir : Boulazac a résisté jusqu’à l’heure de jeu, mais les remplacements et la précision sur coups arrêtés ont fait basculer la rencontre. Insight : la pause ne garantit pas la maîtrise du match, surtout face à une équipe qui sait gérer ses temps forts.

Tactique et mécanique : pourquoi les Girondins ont pris l’ascendant

La seconde période a montré la différence d’intensité et de rotation. Les Girondins ont su accélérer, trouver des solutions sur les côtés et profiter d’un banc plus expérimenté pour imposer leur rythme.

  • Qualité technique supérieure dans les 30 derniers mètres.
  • Changements impactants : l’entrée d’Odru a fait pencher la balance sur coups de pied arrêtés.
  • Pressing placé à la récupération qui a forcé des pertes de balle dangereuses chez Boulazac.

Un autre facteur a joué : la gestion des fautes et des cartons. Boulazac a concédé un deuxième avertissement pour Gora Diop, laissant un espace crucial sur le plan psychologique et numérique.

Exemple concret : sur le coup franc d’Odru, tout s’est joué dans le placement du mur et l’anticipation du gardien. Insight : un bon plan défensif sur coups arrêtés vaut parfois autant qu’un plan offensif bien huilé.

Leçons pour les clubs de R1 et angles à travailler

Pour les clubs amateurs qui affrontent des équipes supérieures en match éliminatoire, quelques ajustements pratiques font la différence : préparation physique ciblée, gestion du banc et travail spécifique sur les phases arrêtées.

  • Prévoir des scénarios d’organisation si le stade ne peut pas accueillir le match (cas de Boulazac à Périgueux).
  • Travailler les transitions défense-attaque pour limiter les contres adverses.
  • Renforcer la préparation mentale pour tenir 90 minutes contre des équipes mieux armées.

Un témoignage fictif pour fil conducteur : Léa, supportrice boulazacoise venue avec son fils, se souvient d’une belle résistance en première mi-temps et d’un apéritif partagé après le match pour relativiser. Elle illustre que, malgré la défaite, il reste des motifs d’espoir si l’équipe consolide ses points faibles.

Conseil pratique : documenter chaque match (photos, vidéos, notes tactiques) pour transformer l’expérience en plan d’action concret. Insight : les défaites servent d’étincelles pour de meilleures saisons à venir.

Si vous voulez prolonger la soirée autrement, jetez un œil à un guide sur le clairet ou récupérez des infos pratiques sur les matches à Bordeaux avant d’organiser une petite escapade; ces détours font du bien après une soirée de football. Partagez vos impressions ou laissez un commentaire, parce que vos retours aident à mieux raconter ces soirées et à améliorer ce qui doit l’être — partagez, commentez, agissez.

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