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Depuis le 19 septembre, La Mairie de Bordeaux encadre l’enlèvement des vélos abandonnés pour rendre disponibles 17 350 arceaux aux cyclistes actifs. Résultat attendu : plus d’emplacements libres et une ville moins encombrée.
Brief : le dossier combine une procédure administrative, l’intervention de la Police Municipale de Bordeaux et des agents de Bordeaux Métropole, et un volet récupération/recyclage pour les propriétaires.
Ce que vous gagnez tout de suite : arceaux libérés et mobilité fluidifiée
Dans les secteurs saturés — hypercentre, Capucins–Victoire, gare Saint‑Jean — les arceaux étaient parfois neutralisés par des vélos en mauvais état. L’action vise à rendre ces places aux cyclistes quotidiens.
- Plus de disponibilité : arceaux dégagés là où la demande est la plus forte.
- Meilleure sécurité : moins d’accrocs aux lampadaires et au mobilier urbain.
- Impact visuel : rues plus propres et moins de rouille visible.
Exemple : Clara, 34 ans et usagère du Vélo’v, a retrouvé une place près de son travail après une tournée d’enlèvement — un petit changement concret qui lui a évité 10 minutes de recherche chaque jour.
Insight : libérer un arceau, c’est rendre un trajet plus simple pour des centaines d’usagers.
Le dispositif : procédure, acteurs et règles à connaître
La démarche commence par un autocollant d’avertissement collé sur les vélos jugés abandonnés. Si le propriétaire ne se manifeste pas sous un mois, le vélo est retiré ; il peut être scié si nécessaire par les agents.
- Acteurs impliqués : La Mairie de Bordeaux, Police Municipale de Bordeaux, agents de Bordeaux Métropole.
- Outils : identification, avertissement, enlèvement — parfois à la scie circulaire.
- Suite donnée : récupération possible pendant 30 jours, puis recyclage ou réemploi.
Marc Etcheverry, élu local, souligne que le phénomène a augmenté avec la hausse des usagers du vélo et qu’il existe désormais un cadre légal là où précédemment il y avait un vide.
- Zones d’intervention prioritaires : hypercentre, Capucins–Victoire, gare Saint‑Jean.
- Objectif opérationnel : multiplier les tournées d’enlèvement dans les mois à venir.
Pour en savoir plus sur la ville et ses espaces, découvrez aussi ce site utile : https://www.visiter-bordeaux.eu/domaine-certes-graveyron/.
Insight : formaliser la procédure permet d’agir vite et de protéger l’espace public sans laisser d’arbitraire.
Que faire si votre vélo est concerné et comment participer localement
Si vous voyez un vélo marqué, réagissez : vérifiez l’autocollant et contactez les services indiqués. Plusieurs structures locales peuvent aider à récupérer, réparer ou recycler un vélo.
- Si propriétaire : suivez les indications du sticker et contactez la mairie ou la plateforme mentionnée.
- Si témoin : signalez la situation aux services de proximité ou via les relais associatifs.
- Pour réparer ou donner : tournez‑vous vers La Maison du Vélo Bordeaux, Atelier Remuménage ou Cyclab.
Ressources utiles et partenaires : TBM pour la mobilité, V3 et Vélo’v comme alternatives, UCPA Sport Access ou ProximiCycle pour l’engagement local.
Quelques gestes concrets :
- Photographier le vélo et noter l’emplacement.
- Consulter l’avertissement collé et appeler le numéro indiqué.
- Contactez La Maison du Vélo Bordeaux pour une remise en état si vous connaissez le propriétaire.
Pour plus d’informations pratiques, retrouvez des détails locaux ici : https://www.visiter-bordeaux.eu/domaine-certes-graveyron/, et si besoin répétez la consultation via ce lien : https://www.visiter-bordeaux.eu/domaine-certes-graveyron/.
Pour soutenir les initiatives de réemploi, pensez aux ateliers locaux et à https://www.visiter-bordeaux.eu/domaine-certes-graveyron/ qui liste des lieux utiles.
Insight : agir collectivement permet de transformer un problème d’encombrement en opportunité de réemploi et de mobilité partagée, parce que chaque arceau libéré compte pour la ville.
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